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    Il est des jours qui ne prennent fin

    Ne pouvant passés à demain

    Qui lentement s’étirent dans l’intemporel

    Entraînant avec eux un cycle perpétuel.

    Quand se suivent de près, nos souhaits, nos attentes

    Perdus dans les méandres des nuits déprimantes.

    Passent les minutes, heures, et jours traînants

    D’incertitudes en inquiétudes: sur le cadran

    Balancier du temps résonne en coups de semonce,

    Déferlante vague de questions sans réponses.

    Alors descend le sombre voile nocturne

    Masquant nos interrogations, nos infortunes

    Le jour prend enfin le chemin vers demain.!

     

              NINI :04/08/2011

     


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    Tout le monde rêve d'un idéal

    Un Eden un bonheur fatal,

    Alors que se suivent de près nos désirs

    On voudrait mourir

    Mais la vie est là !

    Tout le monde veut le soleil,

    Nos pensées tournées vers le ciel,

    Chacune d’elles ont leurs causes

    Prions pour atteindre l’apothéose.

    Mais la vie est là !

    Même quand tout s’éteint,

    Avec nos chagrins

    Il reste encore une braise, une flamme qui dort.

    Un peu de vent sur nos tourments, avec discernements.

    J’ai consumé des peines

    Attisé des blessures anciennes

    Mais la vie est là !

    Je reste près du bonheur, loin du renoncement

    Qui nous sauve nous relève de nos fièvres?

    Une étincelle dans le silence.!

    Le jour se lève, la vie avance

    Avec elle retrouvons l’espérance

    Avec elle donnons-lui un sens.

    Car …..la vie est là !

    NINI: 28/7/2011

     


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    il y a des mots qui ont une vraie valeur

    Lorsqu’ils sont dits avec ferveur

    Ecrits ou échangés.

    Il y a des mots pour faire rêver

    D’autres que l’on ramasse

    Qui blessent et passent.

    Des mots pour rire et pour pleurer

    Ceux que l’on aimerait entendre

    Des mots plaisants et tendres

    Bleus comme l’azur qui rassure,

    Mots pour écrire des poèmes,

    De nos expériences suprêmes,

    De réconfort où se mêle toute souffrance

    En ces temps de désespérance

    Magie des mots, parer notre vie de bonheur et de joie

    Pour que les mots effacent nos maux.

     

    NINI: 19/7/2011

     


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     Petits ou gros, ils font notre langage

    Ce que veulent dire les mots, sort de l’apprentissage

    Quand ils sont beaux, effacent tous les maux

    Peignant les cœurs en poésie, tuant les vains mots

    Comme un baume de douceur effaçant les chagrins

    Se faufilent dans l’imbroglio des phrases, devant l’incertain

    À demi -mot, incompréhension d’un murmure chafouin

    Mots divers, font frissonner l’assemblée

    Mots doux, chuchotés à l’oreille, douce mélopée!

    Les mots tard arrivent eux, en fin de journée

    Précédés par les mots tôt, poursuivis par les mau..dits

    Ce sera le mot de la fin!

     

     

    on a bouleversé la terre, avec des mots (Alfred De Musset)

      

    NINI : 20/11/2010

     

     


    4 commentaires
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    Laissez -moi avec mes souvenirs
    Rangés dans ma mémoire avec, mes amis, mes poésies.
    Je ne sais plus comment déployer mes ailes
    M’émerveiller encore sous le soleil.
    Ce n’est qu’une peine; une peine perdue
    Mais bientôt elle ne saignera plus
    Pardonnez- moi si le soir j’ai les idées noires.
    Laissez- moi choisir la fin de l’histoire
    Un jour je vais arrêter de me chercher
    La lumière me frappera dans le dos, me touchera en plein cœur
    Laissez -moi m’étonner, douter du bonheur.
    Regretter de n’avoir été qu’un leurre
    Alors ce livre à tout jamais je fermerai !

     

    NINI :25/4/2012

     


    1 commentaire
  •        

    j'offre aux pas nonchalants ma lumière
    Tendrement éclairant le cœur des amants
    Du promeneur errant , l’ombre solitaire
    S’éclipse en passant sur les pavés brillants.
    Contre moi dansent les éphémères
    Dans le halo d’une lueur transitoire.
    Le poète rêve sur un banc, écrit quelques vers
    Et s’endort comme un traîne- misère.
    Dans la rue naguère j’ai vu bien des drôles
    Sirotant appuyés à mon épaule
    Glissant jusqu’à mon pied que des chiens ont souillés .
    Dressant fier mon corps nocturne aux rayons de lune
    Mon reflet de fer comme un miroir se dessine sur le trottoir.

     


     NINI 14:11/2011

     

     


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