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                                                                                 Dans la lueur naissante

    Rosie sur une palette de vie, chatoyantes

    Couleurs aux reflets d’arc-en- ciel

    D’un éclat aux tons pastels

    Se déclinent au passé au futur au présent.

    Un vent de liberté venu du firmament

    Épouse les blés d’or, aux accents de l’été

    Sur chaque chemin et sentier

    Les jardins ont jetés leurs graines.

    Sur la courbe de l’infini pérenne

    Qui s’effeuille en nuances célestes,

    De la belle pâquerette si modeste

    Aux rouges coquelicots, jaunes mimosas

    Un souci par ici , une rose par là…

    Nuancier du bonheur aux tons mordorés

    Jardin de mon cœur vos couleurs

    Comme un feu d’artifice se disputent la primeur

     

     

    NINI: 31 /08/2013)

       


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    Entre champs de maïs et verts ensemencés

    Vaches qui paissent au pré de l’été

    Se promener aussi sous le soleil printanier.

    Errer dans la campagne pour rejoindre les terres

    Où pousse encore l’espoir de nos rêves imaginaires

    En suivant le chemin des désirs oubliés.

    La ferme à l’effort va de l’avant

    L’épouvantail s’étire au champ

    Les oiseaux en rituel conflictuel

    Tournoient à tire- d’ailes.

    Sentir autour de nous ces parfums émanés

    De corolles de fleurs et pétales tombés.

    Vision écarlate du rouge coquelicot

    À la blondeur du blé parsemé d’étourneaux.

    Prendre le temps de remplir sa tête de ces instants

    Dans le calme d’un matin de printemps

    Quand la vie passe à l’âge des tourments.

     

     

               nini 7/10/2013                                   

      


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    Il y a des mots que l’on entend pas…

     

    Un soir une ombre a surgi et m’a dit

    « Ecoute un peu une voix te parle en mots inconnus »

    La voix du silence l’entends tu?

    je suis allée me promener , les arbres se sont penchés

    Pour me raconter des histoires qu’ils étaient seuls à connaitre..

    Le vent doucement m’a soufflé à l’oreille les secrets

    De ces Géants des bois , décoiffés de leurs feuilles mortes.

    Qu'une Sombre pluie chemine ces corps de veines fortes.

    Leurs bras noueux captent les bises dans un cri de douleur

    Mes yeux se perdent dans leurs labyrinthes de malheurs

    Chaque arbre a dans le vent son écho, humble ou hautain

    La forêt toute entière a une voix divine quand vient le matin..

    Parfois les mots tombent sans faire de bruit en gouttes de rosée étouffées

    De peur qu’ils se confondent avec celui que fait le monde en jetant

    Ces mots à tous vents, discuter sans parler ,entendre sans écouter
    ........

    je me tais.. Peut être alors les entendras-tu crier dans le silence de la nuit!

     

     

     
     nini: 15/9/2013

     


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    Liberté chérie puisque l’on te vénère

    Reste la gardienne de nos privilèges devenus amers

    Quand sa vraie valeur tellement galvaudée

    Grignote nos acquis et malmène nos destinées

    On te chante en hymne de reconnaissance

    Pour un peuple souvent en défaillance .

    Surveillée elle nous épie jusque dans nos droits

    Notre pensée toujours inconsciemment guidée par tes lois

    Exprimons nos idées en affirmant sa théorie

    Avoir son idéologie qui aide à construire sa vie

    Efface les images faussées par tout ces clichés

    Commence par chercher la simple vérité

    Un peu d’audace, fais comme l’oiseau qui vole

    Et chante pour sa belle

    colporte que « s’élever » et chanter rend la vie encore plus belle..

                      ........

     

    Mais n’oublions pas : la liberté s’arrête où finit celle des autres

    La vérité ne consiste pas à faire ce qu’on veux

    Mais ce qu’on doit, fuir ce combat c’est se perdre irrémédiablement.

     

     

    Nini-d (2013)

     

     


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  •                                                                                                     Mistral Gagnant

     


    émoire du temps où les jeux relevaient de la naïveté
    ndestructibles souvenirs, toi petit, tu les as souvent rêvé…
    autillant de flaques en flaques d’eau , la rue t’appartient
    rébuchant sur les trottoirs cahoteux, carambars en mains
    ires à humeur joviale, lance- pierre, fabrication débrouillardise
    vec une vivacité d’esprit et d’expression provoquant la surprise
    e temps ne compte pas, vos complicités de gamins sont au diapason

     

    énérosité du moment, les copains d’abord , réunion du bataillon
    imant les escapades , où liberté fonctionne avec compréhension
    randes sont les émotions à la découverte de l’amour,
    arrer ces bonheurs pour oublier les mauvais jours
    ssocier hier et aujourd’hui avec les amis d’antan
    e jamais banaliser l’amitié des enfants
    emps révolu mais jamais perdu!

     

     

    nini-d( challenge de psyché)


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