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Tout le monde rêve d'un idéal
Un Eden un bonheur fatal,
Alors que se suivent de près nos désirs
On voudrait mourir
Mais la vie est là !
Tout le monde veut le soleil,
Nos pensées tournées vers le ciel,
Chacune d’elles ont leurs causes
Prions pour atteindre l’apothéose.
Mais la vie est là !
Même quand tout s’éteint,
Avec nos chagrins
Il reste encore une braise, une flamme qui dort.
Un peu de vent sur nos tourments, avec discernements.
J’ai consumé des peines
Attisé des blessures anciennes
Mais la vie est là !
Je reste près du bonheur, loin du renoncement
Qui nous sauve nous relève de nos fièvres?
Une étincelle dans le silence.!
Le jour se lève, la vie avance
Avec elle retrouvons l’espérance
Avec elle donnons-lui un sens.
Car …..la vie est là !
NINI: 28/7/2011
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il y a des mots qui ont une vraie valeur
Lorsqu’ils sont dits avec ferveur
Ecrits ou échangés.
Il y a des mots pour faire rêver
D’autres que l’on ramasse
Qui blessent et passent.
Des mots pour rire et pour pleurer
Ceux que l’on aimerait entendre
Des mots plaisants et tendres
Bleus comme l’azur qui rassure,
Mots pour écrire des poèmes,
De nos expériences suprêmes,
De réconfort où se mêle toute souffrance
En ces temps de désespérance
Magie des mots, parer notre vie de bonheur et de joie
Pour que les mots effacent nos maux.
NINI: 19/7/2011
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Petits ou gros, ils font notre langageCe que veulent dire les mots, sort de l’apprentissage
Quand ils sont beaux, effacent tous les maux
Peignant les cœurs en poésie, tuant les vains mots
Comme un baume de douceur effaçant les chagrins
Se faufilent dans l’imbroglio des phrases, devant l’incertain
À demi -mot, incompréhension d’un murmure chafouin
Mots divers, font frissonner l’assemblée
Mots doux, chuchotés à l’oreille, douce mélopée!
Les mots tard arrivent eux, en fin de journée
Précédés par les mots tôt, poursuivis par les mau..dits
Ce sera le mot de la fin!
on a bouleversé la terre, avec des mots (Alfred De Musset)
NINI : 20/11/2010
4 commentaires -
Laissez -moi avec mes souvenirs
Rangés dans ma mémoire avec, mes amis, mes poésies.
Je ne sais plus comment déployer mes ailes
M’émerveiller encore sous le soleil.
Ce n’est qu’une peine; une peine perdue
Mais bientôt elle ne saignera plus
Pardonnez- moi si le soir j’ai les idées noires.
Laissez- moi choisir la fin de l’histoire
Un jour je vais arrêter de me chercher
La lumière me frappera dans le dos, me touchera en plein cœur
Laissez -moi m’étonner, douter du bonheur.
Regretter de n’avoir été qu’un leurre
Alors ce livre à tout jamais je fermerai !NINI :25/4/2012
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j'offre aux pas nonchalants ma lumière
Tendrement éclairant le cœur des amants
Du promeneur errant , l’ombre solitaire
S’éclipse en passant sur les pavés brillants.
Contre moi dansent les éphémères
Dans le halo d’une lueur transitoire.
Le poète rêve sur un banc, écrit quelques vers
Et s’endort comme un traîne- misère.
Dans la rue naguère j’ai vu bien des drôles
Sirotant appuyés à mon épaule
Glissant jusqu’à mon pied que des chiens ont souillés .
Dressant fier mon corps nocturne aux rayons de lune
Mon reflet de fer comme un miroir se dessine sur le trottoir.
NINI 14:11/2011
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